• Qu'est qu'une cybercommunauté ??? Ce mot veut tout et rien dire.... Rechercher le sur google ou yahoo et vous verrez, on en trouve pour tout les goûts..... Noyé dans cette masse, vous trouverez des site comme Twitter, Myspace ou encore Facebook... Super...

    Les gens sont incapable de se rencontrer réellement alors ils se réfugie dans le cyber espace... Le pire dans tout cela sont les sites qui vous propose de créer votre personnage "idéale" et qui vous permet d'évoluer dans un monde virtuel..... NO COMMENT...

    Je l'avoue, j'ai une page personnelle sur Facebook et Myspace.... Mais, que faire face à cette vague déferlente !!!! J'utilise surtout Facebook afin de communiquer avec des gens que je vois pas souvent.... moins je suis dessus mieux je me porte. Par contre, il est vrai que je suis plus porté sur Myspace qui me permet de découvrir de nouveau talents et qui est mieux convivial.

    La question est qu'est qu'un site de réseautage .... voyons ce que nous dit Wikipédia...

    Le réseautage social (distinct du concept de réseau social en sociologie) se rapporte aux moyens mis en œuvre pour relier les personnes entre elles (il peut s'agir aussi bien de réseautage informel qu'instutionnalisé). Avec l'apparition d'Internet, cette notion recouvre aussi les applications informatiques liées à Internet qui servent à constituer un réseau social. Elles servent à relier des amis, des associés, ou d'autres individus employant ensemble une variété d'outils (entreprise, logiciels, sites, etc.) Ces applications, connues sous le nom de « service de réseautage social en ligne » (en anglais en:social networking) ont de multiples objectifs et vocations. Elles peuvent alimenter de la gestion des carrières professionnelles (coaching professionnel), la distribution et la visibilité artistique, favoriser les contacts personnels (site de rencontres sur Internet, sites d'anciens élèves, site de relations amicales).

    La grande question est : comment sont exploitées les données mises en ligne ? Utilisation ..... publicitaires, politique, espionnage,.... Je vous laisse seul juge.... La vie n'est-elle pas une partie de poker ???

     

     

     

     La plupart des artistes dont je vous parle on une page sur un site de résautage social..... je pense que cela peut permettre de mieux comprendre leurs performances artistiques....

    Demain, je vous parlerai d'un artiste que j'aime particulièrement.... Lukas Zpira.... Un avant goût...

     

     

    Un petit poème de Baudelaire pour la route.... L'Aube Spirituelle.....

     

    Quand chez les débauchés l'aube blanche et vermeille
    Entre en société de l'Idéal rongeur,
    Par l'opération d'un mystère vengeur
    Dans la
    brute assoupie un ange se réveille.
     
    Des Cieux Spirituels l'inaccessible azur,
    Pour l'homme terrassé qui rêve encore et souffre,
    S'ouvre et s'enfonce avec l'attirance du gouffre.
    Ainsi, chère Déesse, Etre lucide et pur,
     
    Sur les débris
    fumeux des stupides orgies
    Ton souvenir plus clair, plus rose, plus charmant,
    A mes yeux agrandis voltige incessamment.
     
    Le soleil a noirci la flamme des bougies ;
    Ainsi, toujours vainqueur, ton fantôme est pareil,
    Ame resplendissante, à l'immortel soleil !

    Spleen et Idéal, XLVI


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  • Roberta Lima, une autre vision de la féminité


    Sur scène, une femme s’apprête à se taillader les cuisses pour se les coudre l’une contre l’autre. Roberta Lima, une artiste brésilienne de 34 ans, travaille avec sa propre chair. Son but : détruire l’image du corps féminin. Elle se fait retirer des morceaux de peau de son avant bras, sans anesthésie et se transforme en quartier de viande fraîche, comme au rayon boucherie.

    Roberta Lima : "Je viens du Brésil et c’est un pays où le corps de la femme doit être très galbé, très marqué sexuellement. J’ai eu beaucoup de mal à vivre dans un environnement où le corps féminin est défini de cette manière. Au Brésil, j’étais une espèce de phénomène, et ça me plaisait assez. Mais depuis que je vis en Europe, je me suis rendue compte que je suis tout simplement une féministe."

    La performance que Roberta Lima présentait au Festival du Danube de Krems, s’appelle « 16 Stiche -16 entailles ». L’artiste porte une robe de mariée, symbole de virginité mais aussi de défloration. La robe est agrafée directement sur sa peau. Les canules pénètrent profondément dans la chair.
    La performance de Roberta Lima rappelle les exhibitions de monstres d’autrefois. Mais ici, c’est la douleur qui est livrée au public. Certains s’en amusent, d’autres sont mal à l’aise. Roberta Lima ne franchit pas les limites traditionnelles des deux sexes. Son but est pourtant de semer le trouble. Pour le public, ses performances sont une occasion de se confronter avec une vision de la féminité qui sort de l’ordinaire.

     

     

    Emission sur ARTE...

     

     

    Phénomène de société ou malaise de notre société.... Homme ou femme...

     

     


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  • Je voudrais tout d'abord commencé par un poême de Charles Baudelaire que je dédie à une personne qui est chère à mon coeur :

    Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme,
    O Beauté? ton regard, infernal et divin,
    Verse confusément le bienfait et le crime,
    Et l'on peut pour cela te comparer au vin.

    Tu contiens dans ton oeil le couchant et l'aurore;
    Tu répands des parfums comme un soir orageux;
    Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore
    Qui font le héros lâche et l'enfant courageux.

    Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres?
    Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien;
    Tu sèmes au hasard la joie et les désastres,
    Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien.

    Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques;
    De tes bijoux l'Horreur n'est pas le moins charmant,
    Et le Meurtre, parmi tes plus chères breloques,
    Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement.

    L'éphémère ébloui vole vers toi, chandelle,
    Crépite, flambe et dit: Bénissons ce flambeau!
    L'amoureux pantelant incliné sur sa belle
    A l'air d'un moribond caressant son tombeau.

    Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe,
    O Beauté! monstre énorme, effrayant, ingénu!
    Si ton oeil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte
    D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu?

    De Satan ou de Dieu, qu'importe? Ange ou Sirène,
    Qu'importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours,
    Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine! -
    L'univers moins hideux et les instants moins lourds?

    Traduction :

    Vem do céu profundo ou sai de l' abîme, O Beleza? o teu olhar, infernal e divino, Verte confusamente o benefício e o crime, E l' pode-se para aquilo comparar-lhe com o vinho. Contens no teu olho que deita-o e l' aurora; Espalhas perfumes assim como uma noite orageux; Os teus beijos são um filtro e a tua boca uma ânfora Quem fazem o herói cobarde e l' criança corajosa. Sai do abismo preto ou desce astros? O Destino encantado segue teus jupons como um cão; Semeias aleatoriamente a alegria e os desastres, E você gouvernes todo e não responde de nada. Você degraus sobre mortes, Beleza, cujo você te moques; Das teus jóias l' Horror n' não está menos charmant, e o Assassinato, entre teus caras breloques, Sobre o teu ventre orgulhoso dança amoureusement. L' efémero deslumbrado voa para você, vela, Crépite, arde e diz: Abençoem esta tocha! L' amoureux pantelant inclinado sobre o seu bonito A l' ar d' moribond acariciando o seu túmulo. Que venhas do céu ou l' inferno, qu' importe, O Beleza! monstro enorme, effrayant, simples! Se o teu olho, o teu rato, o teu pé, m' abrem a porta D' infinito que j' goste e n' nunca conheceu? Satan ou Deus, qu' importa? Anjo ou Sirene, Qu' importa, se tornas, - fée no entender veludos, Ritmo, de perfume, lueur, do a minha única rainha! - L' universos menos medonhos e os momentos menos pesados?
    La photo du jour .... Renaissance.....
    Je reviens au sujet principal de ce soir.... La demeure du chaos... Je vous laisse découvrir un reportage et je vous en reparle plus longtemps demain soir, promis.
    Une petite chanson pour la route... Vanessa de Mata....

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  • Pas envie de parler.... ce soir... Demain, j'ai rendez-vous à l'hôpital pour discuter la pose d'un by-pass gastrique... je crois que la photo qui suit montre bien mon état d'esprit. J'ai toujours été contre cette opération mais vue mes problème, c'est le seul remède efficace....

     

    Mais a-t-on le droit de se plaindre comparé à la catastrophe de Minamata....

     

    Pauvre monde de fous....

     

     

     

     


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  • 666 ??? Provenance.....

    Une explication

    Dans la seconde moitié du IIe siècle, dans son livre Réfutation de la prétendue gnose au nom menteur, surnommé « Contre les hérésies », le millénariste Irénée de Lyon, qui professe une autorité absolue des Écritures, évoque le chiffre de la bête à plusieurs reprises dans son livre V, Ch. 29, 2. En voici un extrait:

    « C'est pourquoi aussi, dans la bête qui doit venir, aura lieu la récapitulation de toute iniquité et de toute tromperie, afin que toute la puissance de l'apostasie, ayant conflué vers elle et s'étant ramassée en elle, soit jetée dans la fournaise de feu. C'est donc à juste titre que le nom de la bête aura le chiffre six cent soixante-six, récapitulant en lui tout le mélange de mal qui se déchaîna avant le déluge par suite de l'apostasie des anges — car Noé avait six cents ans, lorsque le déluge survint sur la terre et anéantit les êtres vivants de la terre à cause de la génération perverse du temps de Noé —, récapitulant aussi toute l'erreur idolâtrique postérieure au déluge et le meurtre des prophètes et le supplice du feu infligé aux justes — car la statue dressée par Nabuchodonosor avait soixante coudées de hauteur et six coudées de largeur, et c'est pour avoir refusé de l'adorer qu'Ananias, Azarias et Misaël furent jetés dans la fournaise de feu, prophétisant par cela même qui leur arrivait l'épreuve du feu que subiront les justes à la fin des temps : toute cette statue a été, en effet, une préfiguration de l'avènement de celui qui prétendra se faire adorer lui seul par tous les hommes sans exception —. Ainsi donc, les six cents ans de Noé, au temps de qui le déluge eut lieu à cause de l'apostasie, et le nombre des coudées de la statue, à cause de laquelle les justes furent jetés dans la fournaise de feu, signifient le chiffre du nom de cet homme en lequel sera récapitulée toute l'apostasie, l'injustice, l'iniquité, la fausse prophétie et la tromperie de six mille ans, à cause de quoi surviendra le déluge de feu...[41] »

    Irénée a connu dans certains manuscrits la variante 616. Mais il en parle avec blâme, disant qu'elle est minoritaire, qu'elle ne remonterait pas à Jean l'évangéliste et que c'est probablement une erreur de scribe[42].

    Citation de Louis Segond (1910)

    « Et il lui fut donné d’animer l’image de la bête, afin que l’image de la bête parlât, et qu’elle fît que tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la bête fussent tués. Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. 

     

    666 = ou pas = à la décadence urbaine....

    Je me pose de plus en plus la question en observant notre vie urbaine.... A la vue de certains graffiti, je demande quelque place à l'être humain et plus particulièrement la femme dans l'imaginaire des ados actuels... mutante.... androgine.... "objet"....

     

     

    Le texte du moment.... L'aigle noir de Barbara....

    Un beau jour,
    ou peut-être une nuit,
    Près d'un lac, je m'étais endormie
    Quand soudain, semblant crever le ciel
    Et venant de nulle part,
    Surgit un aigle noir.

    Lentement, les ailes déployées,
    Lentement, je le vis tournoyer.
    Près de moi, dans un bruissement d'ailes,
    Comme tombé du ciel,
    L'oiseau vint se poser.

    Il avait les yeux couleur rubis
    Et des plumes couleur de la nuit.
    À son front, brillant de mille feux,
    L'oiseau roi couronné
    Portait un diamant bleu.

    De son bec, il a touché ma joue.
    Dans ma main, il a glissé son cou.
    C'est alors que je l'ai reconnu :
    Surgissant du passé,
    Il m'était revenu.

    "Dis l'oiseau, O dis, emmène-moi.
    Retournons au pays d'autrefois,
    Comme avant, dans mes rêves d'enfant,
    Pour cueillir en tremblant
    Des étoiles, des étoiles.

    Comme avant, dans mes rêves d'enfant,
    Comme avant, sur un nuage blanc,
    Comme avant, allumer le soleil,
    Être faiseur de pluie
    Et faire des merveilles."

    L'aigle noir, dans un bruissement d'ailes
    Prit son vol pour regagner le ciel.
    Quatre plumes, couleur de la nuit,
    Une larme, ou peut-être un rubis.
    J'avais froid, il ne me restait rien.
    L'oiseau m'avait laissée
    Seule avec mon chagrin.

    Un beau jour, ou était-ce une nuit,
    Près d'un lac je m'étais endormie.
    Quand soudain, semblant crever le ciel
    Et venant de nulle part
    Surgit un aigle noir.

     

    Délire et amour....

     

     


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