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    Des tétons qui dépassent, un coté white trash, l’Amérique profonde et le tout photographié à l’argentique. Tout ce que j’aime. Donc forcément le résultat me plaît.

    Site de l'artistehttp://www.jonathanleder.com/

     

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    Article d'Emilie Lauriola publié sur http://www.paperblog.fr/3362302/jonathan-leder/

     

    Un peu de musique pour finir....

     


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  • Paulo Coelho

    Paulo Coelho (Rio de Janeiro, 24 août 1947) est un romancier et un interprète brésilien.

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    Biographie

    Il est né à Rio de Janeiro, d'un père ingénieur appartenant à la classe moyenne brésilienne. Il fréquente l’école jésuite de San Ignacio, et se forge rapidement une âme rebelle sous le carcan austère de l’éducation des Pères. Ses parents le veulent ingénieur, Paulo aime le théâtre. Son père, désemparé par cet enfant difficile, le fait interner dans un hôpital psychiatrique alors qu’il n’avait que dix-sept ans. Bien des années plus tard, l’écrivain puisera dans cette expérience pénible le matériau de son roman Veronika décide de mourir.

    Les années 1960 voient l’explosion internationale du mouvement hippie. Paulo y souscrit, ainsi qu’à tous ses excès. Il abandonne sa ville natale en 1970 pour voyager à travers le Mexique, le Pérou, la Bolivie et le Chili, ainsi qu'à travers l'Europe et l'Afrique du Nord. Deux ans plus tard, il revient au Brésil et commence à composer des paroles de chansons populaires, travaillant avec des musiciens tels que Raul Seixas. Leur association est un succès, et leur collaboration contribue à changer le visage de la scène rock brésilienne. Coelho s'est réconcilié avec la confession catholique en rencontrant sa femme Cristina, artiste peintre.

    Il est brièvement emprisonné en 1974 sous le prétexte d'avoir commis des gestes subversifs contre la dictature brésilienne. Après cette expérience, Paulo Coelho aspire à une vie ordinaire. Il est alors journaliste spécialisé dans la musique brésilienne, puis il travaille chez Polygram et rencontre sa première épouse. Cet épisode de « normalité » ne dure que quelques années. En 1978, il quitte sa femme et son travail.

    Son questionnement spirituel l'amène à participer à bien des expériences, y compris des rituels de magie noire. Sur le chemin du pèlerinage de Saint Jacques de Compostelle, il trouve l'inspiration de son premier livre Le Pèlerin de Compostelle en 1987 mais qui ne sera exporté que 10 ans plus tard. Il participe au jeu vidéo Pilgrim : Par le livre et par l'épée, développé par Arxel Tribe, édité par Infogrames et dont le design a été réalisé par Moebius.

    En 1988, il publie le roman qui le rend célèbre L'Alchimiste (Jean Pierre Santiago). La légende qui est à la source de son ouvrage est celle du fondateur d'une synagogue de Cracovie : Isaac Jakubowicz. Le roman est basé sur une nouvelle de Jorge Luis Borges, Le Conte des deux rêveurs. Ce livre s'est vendu à plus de 11 millions d'exemplaires et a été traduit en 41 langues.

    Il est également l'auteur de Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, traduit en 23 langues, et de Maktub en 1994, de Le Démon et Mademoiselle Prym en 2000, Onze minutes en 2003, Manuel du guerrier de la lumière, La Cinquième Montagne, Le Zahir, Comme le fleuve qui coule.

    En 2008, Paulo Coelho est président du jury du Prix Femme Actuelle du Meilleur Roman de l’été 2008 - décerné au roman Le Cercle du silence de David Hepburn, le Coup de Cœur du président du jury est lui remis au roman À l'aube du septième sens de Jérôme Manierski -[1],[2] et lance un appel sur MySpace pour l'adaptation de son dernier roman La Sorcière de Portobello[3]. En 2009, il reprend son rôle de président du Prix Femme Actuelle du Meilleur Roman de l’été.

    Il a vendu plus de 75 millions de livres à travers le monde et ses ouvrages ont été traduits en 66 langues. Il a gagné de nombreux prix littéraires dans divers pays, y compris une mention du prestigieux Prix littéraire de Dublin pour Veronika décide de mourir.

    Il habite à Rio de Janeiro ou à Saint-Martin dans les Hautes-Pyrénées en France, en dehors des périodes où il voyage pour promouvoir son œuvre. Il consacre une partie de ses revenus à sa fondation qui s'occupe de jeunes et de personnes âgées délaissées à Rio.

     

    Style

    Les livres de Coelho sont des romans à tendance philosophique abordant la spiritualité, à la manière d'un vaste conte. Une spiritualité syncrétique, qui méconnaît les orthodoxies, empruntant à des traditions très diverses, et parfois contradictoires : religions, courants philosophiques, mysticisme, spiritisme, méditation, surnaturel, ésotérisme, etc. Le style fluide et direct, aisé à traduire, et la trame simple des récits ont permis à Coelho de toucher un très vaste lectorat, dans toutes les cultures.

    Cette écriture simpliste lui vaut toutefois d'être considéré par une grande partie de la critique comme un écrivain mineur aux moyens faciles, dans la lignée du roman populaire, voire des manuels de « développement personnel », proposant une spiritualité insaisissable, sans fondement solide. Au Brésil, bien qu'il y soit l'écrivain le plus connu, et membre de l'Académie des lettres depuis 2002, il est critiqué entre autres pour son manque d'originalité, l'immense publicité qui accompagne la sortie de chacune de ses œuvres et ses fautes de grammaire… Habitué à ces reproches, Coelho rétorque régulièrement que le fait que ses livres soient lus par un si large public lui suffit.

    « Je pense que les écrivains écrivent, les critiques critiquent et les lecteurs lisent. En ce qui concerne la simplicité de mes livres, je donne entièrement raison à mes critiques. Être simple, c'est ce qu'il y a de plus difficile. » [4]

     

     

    Thèmes

    Les récits de Coelho abordent des thèmes proches à chacun, notamment ceux concernant les rêves, les projets, les faiblesses, les doutes, et le sens de la vie… Ces thèmes concis ne s'embarrassent guère d'un décor somptueux : l'essentiel étant l'histoire des deux ou trois personnages bien ciblés qui se mesurent au destin.

     

    La légende personnelle

    La légende personnelle est une expression utilisée par l’écrivain Paulo Coelho dans son livre L'Alchimiste. Selon lui, nous serions tous porteurs d'un destin particulier et favorable qu’il nomme « Légende Personnelle ». L'accomplissement de ce destin dépendrait de notre capacité à retrouver nos envies profondes.

    « Si vous écoutez votre cœur, vous savez précisément ce que vous avez à faire sur terre. Enfant, nous avons tous su. Mais parce que nous avons peur d’être désappointé, peur de ne pas réussir à réaliser notre rêve, nous n’écoutons plus notre cœur. Ceci dit, il est normal de nous éloigner à un moment ou à un autre de notre Légende Personnelle. Ce n’est pas grave car, à plusieurs reprises, la vie nous donne la possibilité de recoller à cette trajectoire idéale » (extrait de l’interview en lien externe)

     

    Œuvres

    Filmographie

    Comme scénariste

    Comme acteur [modifier]

    Comme compositeur

     

    Distinctions

    Paulo Coelho est membre d'honneur du Club de Budapest, dont il a reçu, en 2002 le Prix Conscience Planétaire pour son oeuvre littéraire à portée planétaire sur notamment, la quête de sens.[5]

     

     

     


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  • Le fétichisme sexuel est la fixation du désir érotique et la recherche d'une satisfaction sexuelle, par le contact ou la vue d'une partie du corps, comme par exemple les seins, les fesses, les jambes, le nombril, les mains, le nez ou encore les pieds, d'un objet (des gants, des bas, des bottes, ou encore des chaussures) ou d'une matière. Le fétichisme sexuel peut faire écho de la paraphilie dans le cas où celui-ci provoque un trouble chez la personne[1].

    Le fétichisme désigne l’adoration d’idoles ou d’objets fétiches censés être dotés d'un pouvoir. Au tournant des XIXe et XXe siècles, le terme subit une extension du champ sémantique vers le domaine sexuel. Un fétichiste devient l’adepte non plus d’une religion mais d’une perversion[2].

    Genèse

    Alfred Binet est le premier à utiliser le terme dans un sens sexologique dans un article de la Revue philosophique en 1887. Sa théorie s'appuie sur des remarques de Jean-Martin Charcot et de Valentin Magnan sur un cas de fétichiste du bonnet de nuit dont les premiers émois sexuels étaient liés à la vision de sa mère en bonnet de nuit à l'âge de cinq ans. Binet construit une théorie où l'expérience sexuelle infantile détermine la fixation du fétichisme. Il la résume en une formule : « On revient toujours à ses premières amours[2]. »

    Sigmund Freud s'appuie sur le travail de Binet[2] et désigne comme fétichisme la pratique sexuelle de recherche de l'orgasme par le biais d'objets ou de parties du corps, indépendamment du coït. Il y a donc fétichisme sexuel chaque fois qu'une partie du corps ou un objet vient prendre la place de l'organe sexuel du partenaire et se substitue entièrement à lui. La théorie de Freud va évoluer avec ses réflexions. D'abord centré sur la notion de libido, le fétichisme est présenté comme une perversion[3]. Pour Freud, l’explication de l’origine du fétichisme sexuel serait lié à un traumatisme durant l'enfance symbolisé par l’angoisse de castration. Selon sa théorie, un garçon, découvrant pour la première fois qu'une personne du sexe féminin (sa mère par exemple) ne possède pas de pénis, fait un transfert sur un objet inanimé qu'il verra au même moment[2]. Le fétiche constitue ainsi un substitut du phallus manquant de la femme. Cet objet lui sera alors nécessaire dans le futur pour avoir une satisfaction sexuelle. Selon lui, le fétichiste aurait en fait recours à un clivage : une partie de la personnalité reconnaît l’angoisse de castration via l'objet fétiche, l'autre non et la refoule, la particularité du clivage demeurant dans le manque de communication entre ces deux pôles. Cette théorie rencontre cependant ses limites dans les cas de fétichisme féminin où l'angoisse de castration ne s'exprime pas de la même façon ; de fait, Freud évoque essentiellement l'homme fétichiste, et limite la femme au fétichisme des vêtements qu'il juge « normal »[2].

    Les premières observations cliniques du fétichisme des vêtements ou passion des étoffes apparaissent en 1908 dans l'article Passion érotique des étoffes chez la femme de Gaëtan Gatian de Clérambault[2].

    Après Freud, la théorie du fétichisme subit d'autres influences. Dans les années 1930, Melanie Klein reprend le concept d'« objet partiel » de Karl Abraham et s'attarde plus à présenter le fétichisme du côté de l'objet maternel dans sa dimension d'attachement/séparation que dans sa dimension phallique[2].

    Dans les années 1950, Donald Winnicott apporte sa contribution via sa théorie sur l'« objet transitionnel », qu'il différencie du « fétichisme » - même s'il reconnaît un caractère précurseur au fétichisme dans cette démarche. Selon lui, l'« objet transitionnel » est une illusion du phallus maternel, appartenant au développement affectif « normal » de l'enfant ; à l'inverse, le fétichisme relève de l'hallucination liée à la relation maternelle (donc le « sein »)[2].
    En 1954, Jacques Lacan choisit le fétichisme pour illustrer sa théorie de la trilogie « Imaginaire » - « Symbolique » - « Réel ». L'angoisse de castration est présentée comme l'enjeu de l'historique clinique[2].$

     

    Objets du fétichisme

    Les objets, matières ou attitudes faisant l'objet de fétichisme sexuel sont divers.

    Vêtements

    Le fétichisme, en tant que passion des étoffes, est souvent lié à certaines matières : il concerne notamment le cuir (fétichisme du cuir), le latex (fétichisme du latex), le vinyle, la laine ou l'élasthane - lycra (fétichisme du vêtement moulant), etc.

    Le fétichisme des vêtements, type de fétichisme érotisé, s'est affirmé au cours des cinquante dernières années particulièrement en matière de photographie. On le rencontre dans la vie quotidienne avec différents types de vêtements, des vêtements moulants : pulls en laine, sous-pull à col roulé, body, top, catsuit, des sous-vêtements (fétichisme des sous-vêtements)...

    Exemple de fétichisme sexuel : invitation avec dress code (col roulé moulant, jupe, costume)

    Ce fétichisme devient « fétichisme sexuel » lorsque la vue de cette matière, de ce type de vêtement, provoque une excitation sexuelle.

    Selon Freud, il est parfois dérivé d'un fétichisme du pied quand il concerne des chaussures (bottes, cuissardes, bottines et talons aiguilles principalement), des chaussettes, etc. Et peut concerner des odeurs ou des stimuli visuels.

     

     

     

    Parties du corps

    Le fétichisme peut aussi être relatif aux parties du corps. Dans son sens populaire d'adoration des parties du corps, les fétiches peuvent être les seins ou les fesses. Viennent ensuite les autres fétichismes comme par exemple le fétichisme des jambes, le fétichisme des pieds, le fétichisme du nez (Nasophilie) ou encore le fétichisme des épaules ou du nombril.

    D'autres sont très particuliers. Ce peut-être le cas du timbre de voix, des couches culottes (ABDL), de la teinte des cheveux, d'un type de coiffure (chignon, tresses, frange, etc.) ou du port de lunettes. Certains fétichistes sont attirés par les femmes enceintes (maïeusophilie). D'autres, par des unijambistes ou des personnes atteintes d'un handicap spécifique. Il est en outre difficile d'exclure de ce champ les fétichistes amateurs de femmes mûres, parfois franchement âgées (gérontophilie), ou de femmes obèses (Fat Admirer). Sans parler de ceux qui apprécient les partenaires négligées, voire malpropres. Dans la mesure où de tels signes sont investis d'un pouvoir érotique, il s'agit bien d'un fétichisme, justification préalable de comportements souvent vus comme relevant ensuite d'une simple déviance. Il y a là, en effet, le besoin d'identifier sur le partenaire la présence d'un objet ou d'une condition objectale qui devient le centre du désir sexuel.

    Attitudes et comportements

    F.

    Certaines formes de fétichisme sexuel se rapportent à des attitudes et à des comportements qui provoquent le trouble ou l'émotion nécessaires à une excitation se transformant en plaisir ou rendant le plaisir accessible. Une femme pourrait apprécier, par exemple, de se sentir sans défense face à un désir masculin qui se manifeste, plus ou moins symboliquement, de manière contraignante ou violente. Un homme, de son côté, pourrait rechercher des attitudes féminines particulièrement élégantes ou hautaines, une désinvolture ou une indécence exagérées, une liberté de ton et de propos inhabituelle. De tels éléments, parce qu'ils peuvent relever du jeu de rôle de la même manière qu'une guêpière en latex relève du travestissement, mobilisent des émotions et activent un processus directement inscrit dans le périmètre des pratiques sexuelles fétichistes. Qu'ils soient stéréotypés n'est pas un obstacle à la naissance du désir, au contraire : ils contribuent ainsi à instrumentaliser le ou la partenaire en tant qu'objet conforme à des attentes secrètes, c’est-à-dire en tant qu'objet de désir.

    Art

    Le fétichisme dans son sens sexologique est exploité par la littérature, bien avant sa reconnaissance sexologique. Cette reconnaissance s’appuie sur des éléments littéraires pour ses études. La littérature courtoise énumérant les « blasons du corps » féminin devient un véritable genre jusqu'au XVIe siècle et au XVIIIe siècle les descriptions deviennent presque cliniques, au XIXe siècle, la dandysme s'inspire du fétichisme vestimentaire[2].

    En photographie, design, cinéma et illustration), ce mouvement s'exprime au cours de l'entre-deux-guerre aux États-Unis et dont l'un des pères est John Willie, auteur de comics (Adventures of Sweet Gwendoline notamment) aux côtés de Stanton, Eneg et Jim. On parle aussi, plus couramment de « Fetish ». Sa forme classique a pour effet de substituer l'érotisme du corps, qui devient un élément secondaire de la mise en scène, par celui des objets, et principalement des vêtements ou des chaussures. Les matières jouent un rôle important, avec notamment le cuir (fétichisme du cuir), le latex (fétichisme du latex) et les matières vinyles ainsi que les talons aiguilles.

    Aux États-Unis, le mouvement a été principalement porté par Bettie Page dans les années 1950 puis par Helmut Newton à partir des années 1970-1980 et Richard Kern, au milieu des années 1980. En Europe, le mouvement plus récent s'est divisé en trois écoles : le Fetish art, de Robert Chouraqui, Ludovic Goubet, où le corps joue un rôle de mise en lumière et de mise en évidence des tenues ; le Fashion Fetish, de Christophe Mourthé, Peter Czernich ou Julien Reynaud (Anticmos) où l'imagerie fetish tente de gagner ; et le Fetish-SM art de Ludovic Goubet, Manuel Urquizar, Nath-Sakura et Eric Martin où les imageries fetish et sadomasochistes se rejoignent.

    Suite à la création en Grande-Bretagne (Rubber Ball et Torture Garden), aux Pays-Bas (EuroPerve et Wasteland), en Belgique (Fetish Project) en France (Bal des Supplices, Nuit élastique, Nuit Dèmonia, Nuit FetishInParis, Alien Nation, Revolution Fetish, les soirées de LaLawrence et Zinella, etc.) et à Montréal (Bal Poisson d'Avril[1], Festival international Kinky[2], Fetish Weekend, les soirées du Cirque de boudoir[3] et FéticheSequence[4]) de soirées spécifiquement fétichistes, nous avons assisté à l'apparition au milieu des années 1980 de modèles spécialisées dans ce domaine, les fetish models. On peut citer notamment parmi elles les plus célèbres : Dita von Teese (qui a épousé le chanteur Marilyn Manson au cours de l'année 2005), Bianca Beauchamp, Emily Marylin, Mina, Darenzia[5], Kumi Monster[6], Mosh, Eve-Adeline, Madria[7], Alyz, Laïka de N., Morgana, Ulorin Vex, Sister Sinister, Louva, Jean Bardot, Rubberdoll, Nicotine, et LouLady.

    Le mouvement fetish a pris aussi, au cours des années 1990-2000 de l'essor dans le milieu de la haute couture, avec notamment la collection automne-hiver 2003 de la maison Dior qui a fait appel à House of Harlot, couturier fetish anglais, pour intégrer des éléments en latex dans le défilé.

     


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